En partenariat avec : la Région académique Hauts-de-France
Confrontés à la violence du refus de l’asile, les exilés élaborent des contre-conduites pour résister à leur déshumanisation. Ici et là, des mouvements citoyens défendent de nouvelles formes d’hospitalité militante, dessinant les contours d’une contre-Europe de l’accueil. Sophie Djigo entreprend de redonner un nom et une histoire à ces figures. Elle nous fait éprouver les conditions de vie indignes imposées aux migrants sans statut, les effets concrets des politiques européennes de non-accueil, la façon dont les exilés y résistent, leurs relations avec les bénévoles et les citoyens. Olivier Caremelle fut l’un des principaux acteurs du camp humanitaire ouvert à Grande Synthe contre l’avis du préfet, jusqu’à sa destruction. Il reviendra sur cette période et expliquera également l’action de l’association ANVITA qui œuvre actuellement à l’accueil des personnes en situation de migration notamment en provenance d’Afghanistan.
Sophie Djigoprofesseure de philosophie en Lettres supérieures, philosophe de terrain et militante Bibliographie :
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Olivier Caremelleprofesseur d’histoire-géographie, élu local, membre d’ANVITA (Association de Villes et Territoires Accueillants) et ancien directeur de cabinet du maire de Grande-Synthe Bibliographie :
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