L’école, le collège, le lycée, tels qu’ils sont vécus par les plus jeunes, peuvent être des lieux d’ennui, de peur, voire d’humiliation. Comment venir en aide à ceux qui souffrent de leur expérience ? S’il y a quelque chose d’aimable et même de désirable dans l’école, ce n’est pas ce que l’on croit : elle n’est ni la clé de la réussite, ni un tremplin pour l’avenir, encore moins la pierre de touche du mérite d’un individu. En mettant en valeur les échanges qui s’y produisent, il est possible d’apaiser ceux qui souffrent en attirant leur attention sur leurs propres interactions.
Maxime Rovèreécrivain, philosophe, traducteur, fellow au Netherlands Institute for Advanced Studies d'Amsterdam (Pays-Bas) Bibliographie :
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Joël Ganaultphilosophe, professeur agrégé, directeur du Département Lettres et Arts à l’Université Littoral Côte d'Opale de Dunkerque |