L’humanité a survécu, s’est développée, a prospéré depuis un berceau qui a pris pour nom « forêt ».Comment avons-nous pu oublier collectivement d’où nous venions ? Comment avons- nous pu laisser dépérir le lien vital qui nous rattache au tiers de notre territoire national sans nous apercevoir que ce ne sont pas les forêts qui ont besoin de nous, mais bien nous qui avons besoin d’elles ? Oubli dont les conséquences inquiétantes appellent selon l’auteur une conversion des regards et des pratiques.