« Ce film, 4ème long-métrage de son auteur, repose sur une belle idée : filmer la guerre [du Donbass, déclenchée alors depuis 4 ans] après la guerre, en se projetant en 2025, après que l’Ukraine a défait la Russie, et en n’en montrant que les traces, catastrophiques, sur la nature et sur les âmes (…). N’oubliant pas sa formation documentaire, le cinéaste fait confiance aux corps de ses acteurs non professionnels, dont la plupart ont vraiment fait la guerre comme soldats, démineurs, médecins légistes (…). Voir Atlantis aujourd’hui prend une résonance particulière, car il a été en grande partie tourné à Marioupol, ville martyre de l’occupation russe » (Anthelme Vidaud, juillet 2022).